Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Osons les rimes qui osent

Publicité
Osons les rimes qui osent
26 mars 2011

Confusion mentale

Confusion d'un esprit, pertes aux tréfonds de l'être 
Changement de fenêtre, déjà tout dépérit 
Ce monde entier parti, ce monde que l'on avait vu naître 
Tout cela engloutit, à jamais fermer la fenêtre 

Il y avait encore tant de monts à gravir 
Tant de forêts magiques rester à découvrir 
Tellement de fleuves et de rivières à franchir 
Les cieux ne sont points toujours bleus il faut périr 

Confusion d'un esprit, pertes aux tréfonds de l'être 
Changement de fenêtre, déjà tout dépérit 
Ce monde entier parti, ce monde que l'on avait vu naître 
Tout cela engloutit, à jamais fermer la fenêtre 

Voir cet enfant contempler la mort sans pleure 
La mort de chaque jour, d'instant qui ne sont plus 
Pourtant qu'il est doux ce monde que l'on s'est forger 
Tristesse qu'il ne meurt avec nos souvenir perdus 

Confusion d'un esprit, pertes aux tréfonds de l'être 
Changement de fenêtre, déjà tout dépérit 
Ce monde entier parti, ce monde que l'on avait vu naître 
Tout cela engloutit, à jamais fermer la fenêtre 

Te prendre par la main et t'emmener là-bas 
Voyager avec toi en ce tu ne vois pas 
Retrouver dans ton sourire cet autre toi 
Celui qui dans mes songes me redonner la foi 

Confusion d'un esprit, pertes aux tréfonds de l'être 
Changement de fenêtre, déjà tout dépérit 
Ce monde entier parti, ce monde que l'on avait vu naître 
Tout cela engloutit, à jamais fermer la fenêtre 

C'était si simple, c'était si beau, nous deux, rien d'autre 
Grandir chaque jour, oublier que je suis morte 
Revivre à travers ton regard en quelque sorte 
Mais chacun nous avons un monde qui est bien autre 

Confusion d'un esprit, pertes aux tréfonds de l'être 
Changement de fenêtre, déjà tout dépérit 
Ce monde entier parti, ce monde que l'on avait vu naître 
Tout cela engloutit, à jamais fermer la fenêtre 

Confusion d'un esprit, pertes aux tréfonds de l'être 
Changement de fenêtre, déjà tout dépérit 
Ce monde entier parti, ce monde que l'on avait vu naître 
Tout cela engloutit, à jamais fermer la fenêtre 

Ton monde meurt, le mien ne lui survit, créons le notre

Publicité
Publicité
13 février 2011

Benoît

Beau brun qui vrilla mon cœur quand je n'étais libre

Et qui par ton regard m'affranchis à jamais

Ne m'as tu montrée l’issue du déséquilibre

Oh ce que l'amour peut détruire un jour glacé

Il peut le réparer et le magnifier

Toi Benoît que j'aime comme je n'ai jamais aimé

9 janvier 2011

Un jour

Un jour que tout dans ma vie basculé

Un ange à ma fenêtre s'est posé

Et dans son regard je me suis baignée

Son sourire m'a à jamais consolé

 

J'ai su qu'il était temps pour le passé

D'être pour toujours abandonné

Car dans tes bras je veux tout oublier

Maintenant que la vie s'est simplifier

 

Ne plus penser à hier ni demain

Et profiter de se doux sentiment

Dont je ne veux point connaître la fin

 

Auprès de toi les cieux sont plus cléments

Que je n'aurais jamais imaginer

Tant de douceurs peuvent-elles être vraies?

24 novembre 2010

Peur de ne savoir t'aimer

Si parfois j'ai peur, ce n'est que pour toi
L'angoisse permanente d'un jour te blesser
D'être un jour cassante, quand tu restes coi
De lire la stupeur, en toi l'être aimé

Et si mes sentiments ne te protègent
Sache que j'en succomberais tantôt
De ton cœur instruis-moi le solfège
Ne pas te blesser, tel est mon credo

Si parfois j'ai peur, ce n'est que pour toi
L'angoisse permanente d'un jour te blesser
D'être un jour cassante, quand tu restes coi
De lire la stupeur, en toi l'être aimé

21 octobre 2010

Vivre

Vivre si vite, sans attendre la suite
Vivre si vite, sans que tu hésites

Courir après la vie sans même attendre
Mais qu'attendre accélérer encore
Sans jamais prendre garde au fond sonore
Vivre toujours plus vite sans rien entendre

Vivre si vite, sans attendre la suite
Vivre si vite, sans que tu hésites

Ne jamais attendre demain la mort
Demain peut-être la mort viendra te prendre
Regardes en avant, sans te faire surprendre
Ne jamais attendre, ne te faire de tort

Vivre si vite, sans attendre la suite
Vivre si vite, sans que tu hésites

Courir, courir encore, courir toujours
Ne t'arrête pas, regarde en avant
Ne prends point garde aux petits changements
Courir encore toujours après l'amour

Vivre si vite, sans attendre la suite
Vivre si vite, sans que tu hésites

Publicité
Publicité
10 octobre 2010

Flamme

Cette flamme qui lèche mon cœur
Qui le berce tantôt le bouleverse
Je t'en pris étreint moi de tes caresses
Ainsi la vie recouvre sa douceur

10 octobre 2010

Soleil

Le soleil pointe à travers les nuages
Tel l'espoir se levant enfin en moi
Tu apparais, ce n'est pas un mirage
Avec toi ne songer à autrefois

10 octobre 2010

Chimie amoureuse

C'est de la chimie de deux cœurs perdu
Qu'est conçut la plus parfaite des liaisons
Partageant le bonheur, comblant les déceptions
Et de nos âmes créant le salut

Tu es pour moi la base dont a besoin
Tout acide pour être neutralisé
Qu'ensemble nous soyons enfin stabilisés
Avec toi l'espoir n'est plus tellement loin

C'est de la chimie de deux cœurs perdu
Qu'est conçut la plus parfaite des liaisons
Partageant le bonheur, comblant les déceptions
Et de nos âmes créant le salut

Aucun solvant ne saura délayer
Les sentiments qu'envers toi j'ai conçut
J'aimerais que jamais tu ne sois déçu
De ce que de mon cœur tu as sauvé

C'est de la chimie de deux cœurs perdu
Qu'est conçut la plus parfaite des liaisons
Partageant le bonheur, comblant les déceptions
Et de nos âmes créant le salut

8 octobre 2010

Amour enfantin

Un sourire illumine ton visage enfantin
Mon cœur s'embrase et je ne puis que te sourire
Je me sens face à ton regard enfin revivre
J'envie l'innocence des amours de gamins

Redevenir une enfant avec toi un instant
Rire aux éclats de toutes ses choses qu'on oublie
Quand trop tôt on grandit, et qu'avec toi l'on revit
A nouveau de l'espoir, vivre l'instant présent

Un sourire illumine ton visage enfantin
Mon cœur s'embrase et je ne puis que te sourire
Je me sens face à ton regard enfin revivre
J'envie l'innocence des amours de gamins

1 octobre 2010

Amour

A nouveau rire au larme
Rire, courir, sourire, à en avoir des crampes
Sentir encore une fois son cœur battre à ses tempes
L'amour nous rend nos armes

Rire, rire d'être si complice si proche
Exploser plein de joie, être bien près de toi
Se sentir plus heureuse, et déposer sa croix
Être grâce à l'amour solide comme la roche

A nouveau rire au larme
Rire, courir, sourire, à en avoir des crampes
Sentir encore une fois son cœur battre à ses tempes
L'amour nous rend nos armes

Courir, courir, sans avoir cesse après la vie
Sauter de mure en mur, d'obstacle en obstacle
Bouger à nouveau être vivant spectacle
Formidable d'une rédemption qui gracie

A nouveau rire au larme
Rire, courir, sourire, à en avoir des crampes
Sentir encore une fois son cœur battre à ses tempes
L'amour nous rend nos armes

Sourire, sourire, quand ton regard m'éclaire
Te voir rayonner un astre nouveau présent
Dans mon cœur et mon âme, quel merveilleux présent
Face à toi mon cœur tout doucement se desserre

A nouveau rire au larme
Rire, courir, sourire, à en avoir des crampes
Sentir encore une fois son cœur battre à ses tempes
L'amour nous rend nos armes

Publicité
Publicité
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>
Publicité