Confusion mentale
Confusion d'un esprit, pertes aux tréfonds de l'être
Changement de fenêtre, déjà tout dépérit
Ce monde entier parti, ce monde que l'on avait vu naître
Tout cela engloutit, à jamais fermer la fenêtre
Il y avait encore tant de monts à gravir
Tant de forêts magiques rester à découvrir
Tellement de fleuves et de rivières à franchir
Les cieux ne sont points toujours bleus il faut périr
Confusion d'un esprit, pertes aux tréfonds de l'être
Changement de fenêtre, déjà tout dépérit
Ce monde entier parti, ce monde que l'on avait vu naître
Tout cela engloutit, à jamais fermer la fenêtre
Voir cet enfant contempler la mort sans pleure
La mort de chaque jour, d'instant qui ne sont plus
Pourtant qu'il est doux ce monde que l'on s'est forger
Tristesse qu'il ne meurt avec nos souvenir perdus
Confusion d'un esprit, pertes aux tréfonds de l'être
Changement de fenêtre, déjà tout dépérit
Ce monde entier parti, ce monde que l'on avait vu naître
Tout cela engloutit, à jamais fermer la fenêtre
Te prendre par la main et t'emmener là-bas
Voyager avec toi en ce tu ne vois pas
Retrouver dans ton sourire cet autre toi
Celui qui dans mes songes me redonner la foi
Confusion d'un esprit, pertes aux tréfonds de l'être
Changement de fenêtre, déjà tout dépérit
Ce monde entier parti, ce monde que l'on avait vu naître
Tout cela engloutit, à jamais fermer la fenêtre
C'était si simple, c'était si beau, nous deux, rien d'autre
Grandir chaque jour, oublier que je suis morte
Revivre à travers ton regard en quelque sorte
Mais chacun nous avons un monde qui est bien autre
Confusion d'un esprit, pertes aux tréfonds de l'être
Changement de fenêtre, déjà tout dépérit
Ce monde entier parti, ce monde que l'on avait vu naître
Tout cela engloutit, à jamais fermer la fenêtre
Confusion d'un esprit, pertes aux tréfonds de l'être
Changement de fenêtre, déjà tout dépérit
Ce monde entier parti, ce monde que l'on avait vu naître
Tout cela engloutit, à jamais fermer la fenêtre
Ton monde meurt, le mien ne lui survit, créons le notre